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mercredi 30 mai 2012

Quand un parent ment à son enfant sur son autre parent



Récemment j’ai reçu un papa qui est venu consulter uniquement pour savoir comment réagir quand son fils lui raconte les dires erronés de sa maman le concernant.

Le mensonge est une arme très couramment utilisée dans le contexte de séparation/divorce. C’est une forme de manipulation que les femmes autant que les hommes affectionnent.

Afin de rendre simple la lecture de cet article, je vais partir de ce papa mais j’insiste pour que chacun prenne en compte le fait que cela n’est pas le fait des femmes uniquement.

La suite :

http://psy-conseil-divorce.over-blog.com/article-quand-un-parent-ment-a-son-enfant-sur-son-autre-parent-105500723.html

vendredi 25 mai 2012

Les conséquences de l’absence du père chez l’enfant mâle


De la nécessité de la présence paternelle, notamment dans la construction psychologique de l’enfant mâle 


Les pères n’imitent pas les mères dans leur prise en charge de l’enfant. Ils sont différents, ils sont hommes et pères.

L’amour du père se différencie de l’amour de la mère dans ce qu’il est souvent conditionnel, ce sont les réalisations de l’enfant qu’il va encourager : " Si tu fais ça tu auras ça ! " Cette présence du conditionnel est cruciale car elle œuvre dans le développement de la personnalité, du goût de se dépasser, du respect de la hiérarchie. Mais elle doit être accompagnée d’attention et d’affection sincère.
Le père ne doit pas être lâchement caché derrière sa femme pour imposer ses opinions ou ses décisions.

En assumant ses propres imperfections le père ouvre à l’enfant un monde réel où l’on n’attend pas forcément de lui la perfection, de la compétition, de l’émulation, mais surtout ce qui a trait à l’écoute, à la tendresse, à la spontanéité.

C’est au cours des deux premières années de leur existence que les garçons ont absolument besoin de leur père.

Chez les enfants n’ayant pas eu la présence du père durant ce temps on relève parfois les mêmes développements atypiques que chez les orphelins placés en foyer d’accueil ou chez les fils de famille monoparentale élevés en vase clos et manquant de substituts paternels. 

Chez certains fils sans père on peut retrouver une déficience sur le plan social, sexuel, moral ou cognitif.
La présence corporelle du père auprès du fils lui donne la possibilité d’aimer d’abord sa mère et plus tard de désirer la femme plutôt que de la redouter ou de la mépriser.

La suite : 

jeudi 17 mai 2012

L'utilité d'aller jusqu'à la Cour de cassation puis devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme en matière familiale ou en assistance éducative



Beaucoup de personnes sont découragées par les procédures de la justice familiale, devant le JAF ou la Cour d'appel. Cependant, on peut espérer de belles avancées pour le droit de la famille grâce aux principes dégagés par la Cour de cassation et la Cour Européenne des Droits de l'Homme (la CEDH), qui font jurisprudence et conduisent ainsi une application harmonieuse des lois. Avantages, inconvénients, risques, couts, résultats...

La Cour de cassation est est la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français, elle a pour rôle de ne juger que des questions de droit ou d'application du droit. La Cour de cassation ne juge pas les faits, qui sont tenus pour établis tels qu'ils ont été appréciés par les Cours d'appel.

La Cour de cassation n’est pas un "remède miracle" aux déboires familiaux, et si votre pourvoi est rejeté et que vous perdez, les frais de justice peuvent être lourds. Pour avoir des chances de succès en cassation, il est très important que vos conclusions déposées devant la Cour d'appel aient été particulièrement bien rédigées, et le pourvoi en cassation ne sera réellement pertinent que si, après analyse minutieuse, votre dossier fait ressortir de possibles violations de l'application de la loi par les Cours d'appel. Ce n'est pas fréquent, mais de tels cas peuvent cependant se produire.

De plus, si vous voulez porter votre affaire devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme, il vous faudra d'abord impérativement avoir épuisé toutes les voies de recours (et en invoquant tous vos arguments) en France, dont la Cour de cassation.

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http://www.jafland.info/post/2008/08/04/L-utilite-d-aller-jusqu-a-la-Cour-de-cassation-en-matiere-familiale

mardi 15 mai 2012

Le déni paternel, symptôme d’une civilisation à la dérive ?


Il y a peu de siècles derrière nous les chirurgiens ouvraient le corps des nouveaux nés sans les endormir, on disait qu’ils ne sentaient rien. Aujourd’hui, psychiquement on coupe les enfants en deux et on écarte les pères, eux non plus ne sentiraient rien. Pour l’instant, est considéré pathologique tout ce qui dans les pères crie et supplie, pleure ou tempête, démontre ou s’avance, se tait ou se suicide.

Car ce père qui fait grand bruit et parle de rapt alors qu’on lui tolère tout de même huit heures par mois auprès de son bébé, celui la qui prouve si haut l’amour de son enfant que c’en devient indécent, cet autre qui veut accompagner son fils dans une éducation chaleureuse, ou ce dernier qui se donne la mort parce qu’il ne peut plus respirer l’odeur de sa petite fille, avoir ses sourires dans sa tête et la serrer tendrement contre lui, ( quelle horreur ! ) tout cela prouve combien on a eu raison de ne pas lui confier son enfant.

La suite :

http://jchernandezphotographe.tumblr.com/post/22849223564/le-deni-paternel-symptome-dune-civilisation-a-la